C’est lundi, que lisez-vous ? (67)
Trois semaines depuis la dernière fois et j’ai l’impression qu’il s’est passé des centaines de choses : un chat pas très en forme (on retourne chez le vétérinaire cet aprem), une fin d’été étrange au travail, une semaine de vacances en Vendée, la reprise du boulot pour une nouvelle année scolaire, un nouveau boulot pour Monsieur Loup… c’est fou comme les choses peuvent changer en si peu de temps ! Mais globalement tout est positif et tout va bien (sauf Soka mais j’espère que ce sera bientôt de l’histoire ancienne).
C’est Les Paravers de Millina qui répertorie les liens de ce “C’est lundi, que lisez-vous ?” chaque semaine.
Ces 3 dernières semaines, j’ai fini de lire et j’ai lu…
Irlande, nuit froide est un texte assez lent et contemplatif mais qui m’a procuré une très forte émotion. Le présent et les souvenirs de 4 femmes (3 sœurs et leur mère) sont intimement liés au conflit Nord-Irlandais qui a entraîné un drame familial et a tout changé. Très très fort en émotions. J’ai adoré !
L’Assassin Royal, T. 6. Fin du deuxième cycle, un arc narratif se referme et là aussi c’était plein d’émotions. Quelques longueurs malgré tout dans ces centaines de pages… mais toujours cette facilité de Robin Hobb à nous mettre les larmes aux yeux.
Le Chaudron d’or. Un conte irlandais à la fois drôle, philosophique et poétique. J’ai souri parfois, réfléchi à d’autres passages, été un peu plus sceptique aussi de temps en temps… C’est un peu dans la veine féerique du Songe d’une nuit d’été de Shakespeare, en un peu plus irlandais et grinçant. Je regrette infiniment de ne pas avoir vu l’unique représentation au théâtre de Moulins avec Glen Hansard à la musique (entre autres) !
La Main gauche de la nuit. Abandonné après 65 pages de « euh… je comprends RIEN ». J’abandonne rarement un bouquin mais là, je me suis dit que ça ne valait pas le coup de s’infliger des souffrances inutiles alors que tant d’autres livres me tendaient les bras ! Tant pis, je réessayerai de découvrir la plume de Ursula Le Guin plus tard et avec un autre titre peut-être plus abordable !
Epsiloon, n°2. Je me suis abonnée à ce nouveau magazine d’actualité scientifique (il y a une offre à 1€ par mois les 3 premiers mois) et j’en suis bien contente. C’est à la fois dense et poussé (le dossier sur les trous noirs étaient peut-être un peu trop complexe pour moi) mais aussi abordable et lié à la pop-culture (celui sur la reforestation était édifiant par exemple). Graphiquement c’est attrayant et facile d’accès, c’est surtout sourcé à fond (des scientifiques du monde entier) et sans parti pris. Juste ce que je cherchais pour avoir des infos fiables et passionnantes.
Côté graphiques, ma préférence va cette fois au premier tome de la Famille Vieillepierre (j’ai lu tous les autres avant mais ils proposent tous une aventure différente donc pas d’importance). Pour tous les autres, c’était sympa mais pas parfait voire un peu décevant : le dernier tome de Perfect World (12) est émouvant mais vraiment trop rapide (comme le précédent) ; le dernier de The Promised Neverland (20) est terriblement classique et facile ; je me lasse un peu de l’intrigue de Arte depuis l’arrivée d’un fameux personnage féminin mais ce tome 13 promet une suite étonnante ; enfin, le 10ème tome de L’Enfant et le Maudit (l’avant-dernier) commence très bien car offre des éclaircissements bienvenus… mais la fin m’a à nouveau complètement perdue, je me fais l’impression d’être une parfaite abrutie avec ce manga !
Je lis…
Anthropologiste judiciaire, Temperance Brennan n’aura pas le tranquille week-end qu’elle l’espérait. Convoquée d’urgence, elle doit examiner les restes d’une femme découpée en morceaux, que la police vient de découvrir dans l’ancien parc du Grand Séminaire. A partir de ces éléments macabres, elle tente d’identifier la victime. Les ressemblances entre ce crime et celui d’une jeune fille commis un an plus tôt la persuade de l’existence d’un tueur en série. Cette thèse est d’abord combattue par les policiers mais la découverte d’un autre cadavre réussit à les convaincre. Les meurtres continuent et à la suite d’une erreur du tueur, Temperance se lance sur la piste. Elle ignore encore qu’elle figure en bonne place sur sa liste, comme future victime.
Sara est ruinée, mais ne veut plus entendre parler d’ingénierie. La voici embarquée comme bibliothécaire à bord de l’Université Volante, en compagnie de sa rivale de toujours : Lavinia. La célèbre Université va chercher des financements à Deauville, là où les grandes fortunes d’Europe se réunissent. Sauf que l’Université est en réalité un haut lieu d’espionnage pour la couronne britannique… Lavinia, elle, joue avec les émotions de Sara, mais à ce petit jeu, elles pourraient bien être deux à se laisser prendre…
Proposer un éclairage sur l’actualité, énoncer de nouvelles problématiques de société au regard de la science, favoriser la réflexion…
Pour chaque numéro, une centaine de scientifiques du monde entier interrogés, qui garantissent des informations objectives, pertinentes et originales.
À l’écoute de ces chercheurs qui analysent les mouvements de société, débattent des progrès de la science et bouleversent les idées reçues.