C’est lundi, que lisez-vous ? (34)
Un nouveau « C’est lundi, que lisez-vous ? »… toujours pas grand chose à vous mettre sous la dent mais les jours passent trop vite ! 
C’est I believe in pixie dust qui répertorie désormais les liens chaque lundi.
J’ai fini de lire et j’ai lu…
Une Sirène à Paris. Pour le prix Imaginales des Bibliothécaires 2020. J’ai lu les 2 premiers romans de Malzieu qui m’avaient laissé un plutôt bon souvenir mais je ne suis pas non plus une grande fan. Cette Sirène à Paris ne me fera pas changer d’avis. Oui c’est pas désagréable à lire mais sitôt lu sitôt oublié. ça ne me touche pas plus que ça. A priori, ce n’est pas lui qui aura mon vote pour le prix !
La Porte de la salle de bain. Moins de 100 pages pour ce très court récit à destination des collégiens. Le titre donne le ton. Il s’agit effectivement de l’histoire d’une pré-adolescente dont le corps change et dont le beau-père s’invite de plus en plus souvent dans la salle de bain… Chamboulements de l’adolescence + adulte référent auquel on ne peut pas faire confiance. Des thématiques lourdes mais importantes à aborder.
Paddy Clarke ha ha ha. Pour The Irish Readathon. Un autre roman de la fin de l’enfance puisqu’on suit le petit Patrick (Paddy), 10 ans, dans un des quartiers de Dublin en mutation. Paddy est un garnement qui fait les 400 coups avec ses copains, qui se transforme souvent en harceleur (notamment envers son petit frère) et qui peine à gérer la crise parentale à la maison. Peinture du quotidien et de l’enfance plutôt bien fichue mais je dois avouer que tout bon conteur que soit Roddy Doyle, ça ne m’a pas non plus complètement passionnée. J’ai peut-être passé l’âge ?
Je lis…
Jeanne d’Arc, Molière, Marie Curie, Jules Michelet et Alexandre Dumas entraînent le maréchal Pétain dans un tour de France, en quête des origines de l’histoire du pays. Ils s’interrogent sur la construction du récit national, dans lequel ils sont impliqués.
Ils sont là parmi nous, jamais où tu regardes, à circuler dans les angles morts de la vision humaine. On les appelle les furtifs. Des fantômes ? Plutôt l’exact inverse : des êtres de chair et de sons, à la vitalité hors norme, qui métabolisent dans leur trajet aussi bien pierre, déchet, animal ou plante pour alimenter leurs métamorphoses incessantes.
Lorca Varèse, sociologue pour communes autogérées, et sa femme Sahar, proferrante dans la rue pour les enfants que l’éducation nationale, en faillite, a abandonnés, ont vu leur couple brisé par la disparition de leur fille unique de quatre ans, Tishka – volatilisée un matin, inexplicablement. Sahar ne parvient pas à faire son deuil alors que Lorca, convaincu que sa fille est partie avec les furtifs, intègre une unité clandestine de l’armée chargée de chasser ces animaux extraordinaires. Là, il va découvrir que ceux-ci naissent d’une mélodie fondamentale, le frisson, et ne peuvent être vus sans être aussitôt pétrifiés. Peu à peu il apprendra à apprivoiser leur puissance de vie et, ainsi, à la faire sienne.
Twenty illustrated essays on Irish women, historical and contemporary, who have defied cultural norms, achieved great things and in some way rocked the system. The subjects include Irish women from Queen Medb to Eileen Gray, from Constance Markievicz to Sonia O’Sullivan, covering stateswomen, artists, writers, activists and rebels of all kinds.
Bonne semaine 🙂
Je te souhaite une belle semaine, notamment avec Chevauche-Brumes qui me fait envie depuis sa sortie ><
Bonne semaine livresque !