C’est lundi, que lisez-vous ? (27)
Un C’est lundi, que lisez-vous ? toutes les deux semaines ! Bon, trois semaines cette fois mais j’étais en vacances loin de mon ordinateur, j’ai une excuse 😀
C’est I believe in pixie dust qui répertorie désormais les liens chaque lundi.
J’ai fini de lire et j’ai lu…
Le Diable s’habille en tartan. Une romance historique sans grande originalité mais qui offre tout de même une jeune héroïne avec un libre arbitre. Le voyage en Ecosse n’est pas inoubliable mais ce n’est pas désagréable.
Dévoreur (Les Sentiers des Astres, T. 0). Dans le même univers que Manesh (que j’avais adoré), une sorte de petit conte pour grands. ça parle d’un ogre qui enlève des (ses) enfants pour les dévorer et plus si affinités. C’est plutôt malsain car visuellement très efficace et assez atemporel (facilement transposable grâce à la métaphore).
Je suis ton ombre. Alors là niveau glauque et malsain c’est l’apogée. Pas sûre d’ailleurs que toutes les scènes « hard » soient bien utiles (disons qu’il n’était peut-être pas nécessaire d’exagérer autant). C’est dynamique, visuellement très efficace et l’histoire tient la route. Je ne m’attendais pas forcément à trouver du vampire là-dedans (qui plus est une explication de l’origine du « Mal ») mais ça fonctionne et j’ai bien accroché.
Côté graphiques, ces trois dernières semaines ont été de bons crus.
J’ai vraiment adoré Le Dieu vagabond que j’ai envie d’acheter car il réunit absolument tout ce que j’aime qu’il s’agisse des thèmes ou du visuel. C’est canon. Algues vertes est une bd documentaire qui fait ouvrir les yeux (et révolte beaucoup), c’est bien fait et carrément passionnant. Elle aussi j’ai envie de l’acheter (et j’ai plus que jamais envie de continuer à améliorer ma façon de consommer (breton pour le coup)).
Mon premier rêve en japonais m’a beaucoup plu dans l’illustration, un petit peu moins dans la narration qui se coupe un peu trop brutalement à mon goût. Quant au tome 12 de Princesse Sara, je ne sais pas trop quoi en penser. Je continue à lire cette série par tendresse parce que l’oeuvre de base de Frances Hodgson Burnett a fait partie de mon enfance (ainsi que l’anime) et que j’ai adoré les premiers volumes de cette adaptation en bd steampunk… mais je trouve qu’on tire un peu trop sur la corde et qu’on part un peu n’importe où.
Quant aux albums pour les petits, voilà les 3 lus avec attention ces derniers jours (j’en lis beaucoup plus mais ne note pas forcément les titres !). Ces 3 là m’ont touchée, émue, fait rire ou fait lancer un « moooo, c’est trop mignon ! ».
Je lis…
Un jour, Monsieur Pierre trouve cinq francs dans sa poche. Aussitôt, il décide d’acheter une maison. À ce tarif-là, elles sont plutôt rares… Il en trouve pourtant une, mais son prix modique cache quelque chose : une sorcière habite le placard à balais. Et si l’on chante certaine petite chanson, elle sort… Cette jolie et amusante histoire a inspiré de nombreuses adaptations, à la télévision ou par des compagnies de marionnettes. La petite chanson de la sorcière a suscité bien des frissons et nombre de petits lecteurs sont passés près du placard aux balais en fredonnant juste le début de la ritournelle… On ne sait jamais… Cette histoire est suivie du Conte des deux chaussures qui s’aimaient d’amour tendre, du roman d’une patate qui rêvait de devenir frite, de l’histoire de l’oncle Pierre qui ne voulait pas croire qu’il était mort, et des aventures du petit cochon futé. Comme tous les contes de la rue Broca, ces cinq récits incisifs sont pleins de charme et d’humour. Ils se déroulent dans un univers qui ressemble beaucoup au nôtre, mais où tout est possible. Les personnages acceptent sans sourciller les choses les plus étonnantes et surnaturelles. Et comme tous les contes, on commence par les écouter, puis on les dévore dès qu’on sait bien lire.
BCE, antioxydants, empreinte carbone, dette souveraine, génome humain, streaming… Vous reconnaissez ces mots, vous en entendez souvent parler dans les médias. Êtes-vous sûr cependant d’avoir compris ce qu’ils signifiaient ? Les soubresauts de l’économie, les avancées de la science et d’Internet, les audaces de l’art contemporain ou le fonctionnement de l’Union européenne vous dépassent ? Ne renoncez pas, ouvrez ce livre ! À sa manière, claire et ludique, synthétique et astucieuse, Le Kit du 21e siècle nourrit une grande ambition : permettre à tous les lecteurs, de 17 à 117 ans, de comprendre enfin le monde dans lequel ils vivent.
Bonne semaine de lecture 🙂
Bonne semaine livresque !
Belle semaine livresque !
Plein de belles choses. Dévoreur me tente bien mais il faudrait que je relise Manesh. J’aime beaucoup la façon dont tu parles du Dieu vagabond, ça me vent bien le livre ^^
Je te souhaite une belle semaine de lecture 😀